Road trip day 4

Publié le par kiwiadventure

DAY 4 : Opononi – Dargaville


Après avoir passé la soirée avec quatre autres français au Camping d’Opononi, nous nous sommes réveillés avec le son des vagues.

 

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Alors que les 6 français prennent leur temps pour le petit déjeuner, on nous annonce que nous étions censé partir il y a une demie heure. Petit coup de panique, on prend vite une douche (ha oui, quand on a accès aux douches, on en prend toujours une au cas où la prochaine ne soit que dans longtemps !), et on décide de tous se retrouver au Grand Kauri Tree (le plus gros arbre de Nouvelle-Zélande, mais aussi le plus gros Kauri, espèce de l’arbre, du monde).

 

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Les deux garçons, Hugo et J-P, jouent à Avatar, tant l’on se sent petit à côté de ces gros arbres, particulièrement lorsque l’on sait qu’ils sont vieux de plus de 3 000 ans ! La ballade dans la forêt a duré presque deux heures, du coup, Hugo a coupé court en courant vers le snack ambulant le plus proche (la marche, ça creuse à ce qu’il paraît !). On décide donc de retrouver les autres français à Bayley’s Beach.

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On s’arrête sur la route pour acheter des avocats, puis pour acheter un traditionnel Fish & Chpis que l’on mangera sur la plage. On retrouve notre petit groupe de français, qui s’élargit puisque l’on rencontre aussi un autre couple francophone : une français et une suisse. On passe un bon moment à sauter dans les vagues de la mer tasmane.

 

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Pour prolonger la rencontre, nous partons à la recherche d’un camping pas très cher, où nous pourrions passer la soirée tous ensemble. Ce qui nous ammène à Dargaville, renommée par Hugo : « ville trop glauque qui fout la trouille »(disons qu’il a encore le mauvais souvenirs de trois Maorie (filles) soules et probablement droguée qui lui sautent au coup sous le regards des « grands frères qui vont lui pèter la gueule s’il touche à un seul de leur cheveux », pendant qu’il essayait de s’enfuir en courant avec les autres français)…

 

C’est une ville peuplée à 80% de maoris, mais comme il n’y a rien à faire, ils picolent toute la journée. Et un maori saoul, ça peu faire peur ! En tout cas, on a réussi à trouver un camping pour la nuit, ce qui nous permet de partager un bon repas entre francophones au milieu de nos quatre vans avant de repartir chacun de notre côté.

 


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